mardi 30 décembre 2014

#RentrerEnVie pour la Saint Sylvestre !

Selon une enquête des associations Prévention Routière et Assureurs Prévention menée auprès des Français de 18 à 64 ans, 29 % des Français ont déjà conduit en pensant avoir dépassé le seuil légal d’alcoolémie. Zérotracas.com de MMA vous présente les résultats de cette étude.


A l’occasion du lancement de leur campagne #RentrerEnVie qui vise à inciter les Français à organiser à l’avance leurs retours de soirée, la Prévention Routière et Assureurs Prévention ont mené une grande enquête sur les habitudes de consommation d’alcool des Français.

D'après les résultats de l’enquête, 78 % des sondés choisissent de se déplacer en voiture ou en deux-roues motorisés pour se rendre et revenir de soirée. Que ce soit une soirée festive organisée chez des amis, en famille ou au restaurant, 83 % des sondés y consomment de l’alcool.

S’ils craignent les accidents provoqués par un conducteur ayant trop bu lors de la soirée du nouvel an (84 %) et des retours de discothèque (81 %), paradoxalement ils sont tout de même 29 % à avoir déjà conduit en pensant que leur taux d’alcoolémie dépassait le seuil légal. De plus, 27 % des sondés pensent être déjà montés dans un véhicule dont le conducteur avait dépassé le seuil légal d’alcoolémie. D'ailleurs, la moitié des sondés ignore quel est ce taux.

Pour rentrer en toute sécurité, les Français choisissent principalement de désigner un capitaine de soirée (46 %) et/ou de dormir sur place (44 %). En revanche 41 % des sondés envisagent parfois des solutions dérisoires pour conduire en sécurité comme rouler lentement ou boire du café lors de leurs retours de soirées alcoolisées.

Et vous, avez-vous trouvé un moyen pour rentrer en toute sécurité de vos fêtes de fin d’année ? Autrement, découvrez les solutions envisagées par la Prévention Routière et Assureurs Prévention sur le site www.rentrerenvie.fr. Différentes solutions et des conseils vous seront proposés pour anticiper au mieux vos retours de soirée.

www.zerotracas.com

Cabinet de Vaublanc et Gill
Adresse : 8 avenue Jean JAURES - 69007 Lyon
Tel : 04 72 83 83 83

vendredi 12 décembre 2014

Contrats santé responsables : la période transitoire des entreprises dans le projet de circulaire

Le projet de circulaire relative aux contrats d'assurance maladie complémentaire bénéficiant d’aides fiscales et sociales apporte des précisions importantes en ce qui concerne l’interprétation de la notion de modification dans les contrats collectifs obligatoires, qui déclenche la mise en œuvre du nouveau cahier des charges en vigueur à compter du 1er avril 2015.

                   
© Pascal Guittet


Le projet de circulaire que l'Argus de l'assurance s'est procuré apporte des précisions sur la date d’entrée en vigueur du nouveau cahier des charges des contrats responsables.
Principe : La nouvelle réglementation entre en vigueur pour tous les contrats ou bulletins d’adhésion, souscrits ou renouvelés, à compter du 1er avril 2015.
LES CONTRATS INDIVIDUELS

  • Les contrats (bulletins d'adhésion, règlements) souscrits ou renouvelés jusqu’au 31 mars 2015 demeurent «responsables» jusqu’à leur prochaine échéance principale, date à laquelle ils doivent alors être en conformité.
  • Les contrats (bulletins d'adhésion, règlements) souscrits ou renouvelés à compter du 1er avril 2015 doivent appliquer le nouveau cahier des charges des contrats responsables.

LES CONTRATS COLLECTIFS OBLIGATOIRES

Une période transitoire jusqu'à la fin 2017

Les contrats ou bulletins d’adhésion qui résultent d’actes (accord collectif, décision unilatérale de l’employeurréférendumsignés avant le 8 août 2014 bénéficient d’une période transitoire pour se mettre en conformité :

Revue de presse : 
Extrait d'un article de Jérôme Spéroni sur www.argusdelassurance.com
Pour retrouver l'intégralité de l'article, cliquez ici


Cabinet de Vaublanc et Gill
Adresse : 8 avenue Jean JAURES - 69007 Lyon
Tel : 04 72 83 83 83

mardi 9 décembre 2014

Quelles assurances l'entreprise doit-elle obligatoirement souscrire ?

Difficile pour un dirigeant de savoir quelles assurances il doit souscrire pour son entreprise. Les conseils de Jean-Paul Louisot, auteur de " Gestion des risques "* (éd. Afnor) pour y voir plus clair.



Comment est perçue l'assurance par le dirigeant d'une PME?

Pour un dirigeant , les assurances de son entreprise constituent un monde complexe auquel il n'a pas le temps de s'intéresser. A ses yeux, les couvertures sont toujours trop chères lorsqu'il faut payer les cotisations. Pire, elles s'avèrent décevantes lorsque l'indemnisation n'est pas à la hauteur du préjudice économique subi ou perçu.  
Pour faire son choix, il a intérêt à faire appel à des prestataires de services externes: des experts intervenant préalablement à la souscription du contrat. D'ailleurs en cas de sinistre, ils pourront défendre l'assuré. 
Mais même seul ou avec son expert-comptable, il faut qu'il prenne le temps de se plonger dans ses contrats. Et saisisse la portée des couvertures "standards" qu'il doit souscrire et de leurs principales caractéristiques. 
Quelles assurances l'entreprise doit-elle obligatoirement souscrire ?
Les professions réglementées comme par exemple les avocats, les notaires ou les agents immobiliers doivent souscrire une assurance responsabilité civile professionnelle. En revanche, les autres ne délivrant pas des prestations intellectuelles, doivent souscrire une assurance responsabilité civile produits ou travaux, selon leur activité. En outre, si une entreprise dispose d'une flotte automobile, elle doit couvrir, comme les particuliers, la responsabilité civile. Mais elle peut choisir de couvrir les dommages, ou non.  

Revue de presse : 
Extrait d'un article de Martine Denoune sur www.lentreprise.lexpress.fr
Pour retrouver l'intégralité de l'article, cliquez ici 

Cabinet de Vaublanc et Gill
Adresse : 8 avenue Jean JAURES - 69007 Lyon
Tel : 04 72 83 83 83

MMA Entreprises, Cabinet de Vaublanc et Gill : Garantissez les vrais risques qui vous exposent. Pas les autres ! Plus d'infos ici http://bit.ly/1v2uCg1

lundi 24 novembre 2014

Auto : le constat d’accident devient numérique

Les compagnies d’assurance ont développé une application pour faciliter la déclaration d’un accident.

Qui n’a pas connu, après un accident mineur de la route, l’agacement de ne pas trouver le formulaire de constat à l’amiable, perdu au fin fond de la boite à gant ? Mais ça, c’était avant. Car les assureurs ont mis au point une procédure dématérialisée, dévoilée mardi. Avec, à la clef, la promesse d’une déclaration plus facile et d’un remboursement potentiel accéléré.

Grâce à "e-constat", l’application pour smartphone, les automobilistes pourront remplir un constat d’accident directement sur leur téléphone.

Cette application, disponible pour le grand public à partir du 1er décembre, permettra aux automobilistes immatriculés et assurés en France de déclarer un accident entre deux véhicules (ou un seul) en quelques minutes seulement. Avec l’avantage de proposer de nouvelles fonctionnalités comme l'aide au remplissage de la déclaration ou la prise de photos des dommages.

Qu’est-ce que ça change ? Le e-constat se veut plus pratique que le formulaire papier : pour faire un croquis de l'accident, étape souvent fastidieuse, le conducteur peut utiliser des éléments déjà dessinés et compléter avec un dessin tracé au doigt sur l'écran. Il peut aussi géolocaliser les lieux de l'accident.
L’autre avantage, ce sont les délais : une fois rempli, le constat est signé avec le doigt et directement transmis à l'assureur. L'assuré reçoit alors un SMS de confirmation et une version Pdf par mail. Pour l'assuré, l'utilisation du "e-constat" permettra d'être remboursé plus vite car tous les délais du traitement du sinistre seront raccourcis: expertise, prise en charge et remboursement.

Rassurez vous la procédure papier reste aussi valable...


Cabinet de Vaublanc et Gill
Adresse : 8 avenue Jean JAURES - 69007 Lyon
Tel : 04 72 83 83 83

Revue de presse : 
Extrait d'un article de Gabriel Vedrenne avec AFP pour "europe1.fr"
Pour retrouver l'intégralité de l'article, cliquez-ici